Certains paillis sont acidifiants et modifient la nature de l’humus : hêtre, châtaignier, résineux, bruyère ; d’autres sont améliorants : herbe sèche, tilleul, noisetier, charme, prunus, restes de culture. […] Il ne faut pas craindre un changement de nature de sol. La rotation des paillis, en utilisant tous les déchets verts du jardin, reste la meilleure solution pour les recycler tout en augmentant la fertilité de la terre.
Denis Pépin, « Pailler avec ce que l’on a sous la main« , revue 4 saisons du jardin bio n°213